
Derniers tests et previews


TEST Sonic Racing: CrossWorlds, quand le hérisson bleu défie Mario Kart

TEST Super Mario Galaxy + Super Mario Galaxy 2 : deux voyages galactiques remis en orbite sur Switch

PREVIEW Final Fantasy VII Remake Intergrade : nous y avons joué sur Switch 2

PREVIEW Nioh 3 : l’ère Sengoku avec des combats déchaînés
Dernières actualités

Le Seigneur des Anneaux : une grosse annonce imminente ? Les joueurs vont être ravis

BON PLAN Metroid Prime 4: Beyond, où précommander le jeu au meilleur prix sur Nintendo Switch 1 et Switch 2 ?

L'Epic Games Store accueille enfin cette fonctionnalité très demandée

Amazon Prime Gaming : 14 jeux offerts en octobre 2025 avec de quoi célébrer Halloween

sondage
Sony voit que ça marche la rétrocompatibilité chez son concurrent...
C'est bien d'être rétrocompatible, j'adore rejouer à des jeux d'antan MAIS j'adore avant tout les nouvelles licences.
Si il faut changer de console à chaque fois pour avoir de l'innovation en terme de jeux, je suis contre
J'ai encore pas mal de jeux sur les quatres consoles de salon, surtout en import pour les deux premières. Du coup ça peut être intéressant.
Blague à part, j'avais un peu lâché la série après Revelations (enchainer le II, Brotherhood et lui à la suite n'était pas une idée géniale, overdose...), j'avais quand même très apprécié Black Flag mais Origins, que j'ai fais sur le tard, m'a totalement réconcilié avec la licence. Alors Odyssey, il va prendre cher sur PC là :p
J'ai 20 jours pour le plier à fond y'a RDR2 qui arrive après -__- cette fin d'année 2018 est plutôt goldée.
Hélas, comme Zeus abandonnant l'Olympe pour les cieux, Ubisoft a délaissé l'ère contemporaine de la série, privée à jamais d'une conclusion que le grand créateur lui refuse. Question de perpétuation. La saga, qui tel Héraclès devant accomplir un nouvel exploit à peine le précédent accompli, doit avancer et se poursuivre quoi qu'il advienne.
Alors qu'importe la cohérence, qu'importe que l'histoire à travers l'histoire traverse les opus tel un pauvre hère en quête d'une terre de bien où il trouvera le repos sans jamais la trouver, la foudre du marketing la tiendra éloignée pour que tous en oubli jusqu'à son existence. Jusqu'à ce qu'elle se rappelle à nous sans que nous ne puissions plus l'ignorer, mais seulement pleurer son sort ou maudire son indésirable présence.
Ainsi, sacrifiées sur l'autel de l'immersion, mes envies de contrées passées lointaines et historiques ont ployé depuis longtemps devant le poids de ce fil d'Ariane indigeste, qui à force d'étirement aura viré au rouge, rouge de sang et de honte. Qu'Ubisoft s'entête à jouer les mauvais équilibristes, d'autres aventures m'appellent.