
Senua a décidé d’envahir les consoles de Sony. Alors, cela donne quoi sur PS5 ?
Entre cinéma et jeu vidéo, Hellblade II met une claque visuelle
Senua revient, et elle n’a pas l’intention de nous laisser respirer. Senua's Saga: Hellblade II, exclusivité Xbox signée Ninja Theory, continue de jouer la carte de l’immersion totale, entre fresque nordique, cauchemar psychologique et démons bien tangibles. Avec sa dernière mise à jour, le jeu déboule aussi sur PS5 et s’enrichit de nouvelles options graphiques, d’un mode punitif façon permadeath et d’un mode Photo amélioré qui risque d’engloutir des heures à ceux qui aiment capturer chaque rayon de lumière. Plongeons dans cette descente aux enfers, toujours plus belle et plus intense. Alors ça tourne bien sur la machine de Sony Interactive Entertainment ? Parlons-en !
C’est beau, c’est fluide, c’est prenant.
Pour ne pas changer, nous nous penchons sur la partie visuelle pour commencer. Quoi retenir... Eh bien, difficile de ne pas être bouche bée devant ce Senua's Saga: Hellblade II. Cette production reste une démonstration technique, une œuvre où la frontière entre le jeu vidéo et le cinéma devient de plus en plus fine. La nouveauté majeure, c’est l’arrivée du Mode Performance, permettant de pousser le jeu à 60 images par seconde. Concrètement, le résultat change l’expérience, surtout dans les combats où la fluidité rend chaque coup d’épée plus lisible, plus nerveux, plus brutal. Au passage, sur PC, un nouveau préréglage « Very High » vient flatter les cartes graphiques affamées, tandis que le jeu obtient enfin la mention Steam Deck Verified, preuve que Senua n’a pas peur de se glisser dans la paume des joueurs nomades.
Mais soyons clairs, sur consoles, il y a deux philosophies. Le Mode Qualité, c’est du 30 fps ultra stable avec une image d’une netteté impressionnante, un rendu qui met chaque texture et chaque détail en valeur. À l’inverse, le Mode Performance fait quelques concessions en piqué, avec une image un peu plus floue par endroits, mais garde ce côté éclatant, presque clinquant, qui permet de profiter d’une fluidité royale. Pour résumer un peu tout cela, à vous de choisir entre contempler une fresque ou la vivre à pleine vitesse. Pour une fois, nous vous conseillons le mode Performance. C’est beau, c’est fluide, c’est prenant. What else?
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Quand même un peu dommage.