TEST - Dragon Ball FighterZ : nous avons posé nos mains sur Broly et Baddack, verdict ?

Dragon Ball FighterZ est sans aucun doute un jeu de combat qui a su faire vibrer les joueurs sur PlayStation 4, Xbox One et PC en début d'année. Bandai Namco veut conserver cette folie en propageant au fil du temps des personnages sous forme de DLC. Broly et Baddack sont les premiers à ouvrir le bal, nous avons mis les mains sur ces guerriers, il est temps de vous livrer nos impressions, nos doigts en saignent encore...

Broly n'est pas un monstre, c'est un véritable démon.

DragonBall Fighter Z

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Concernant la modélisation et les gestuelles des combattants, sans surprise, un travail d’orfèvre a été accompli. En effet, les développeurs se sont basés sur les films Broly le super guerrier et Le Retour de Broly, ainsi que le TV Special Baddack contre Freezer et Episode of Baddack pour concevoir les mouvements spectaculaires de nos héros. Le rendu est à couper le souffle, les aficionados repèrent sans difficulté les petites références ; les Dramatic Finish en mettent plein la vue. En un mot : sublime. Et les introductions dans tout cela ? Baddack est classe, un poil badass, puisque notre ami sert son bandana ensanglanté autour de son crâne avant de débuter un match. Broly, lui, fonce sur le terrain en hurlant, ni plus ni moins. Pour ce mastodonte nous aurions apprécié admirer une mutation de son corps en pleine transformation, dommage...

Entrons maintenant dans le vif du sujet, la prise en main. Le père de Son Gokû est un personnage assez rapide, avec des charges explosives qui permettent d’enchaîner un adversaire. Il use d'une sorte de toupie brutale qui peut être placée à la fin d'un combo pour terminer en beauté. Autre point, ses attaques à distance sont lourdingues, ce n'est vraiment pas terrible. Et pour cause, envoyer une boule d’énergie met des plombes à atteindre l'opposant... Chose plus qu'agréable, son Ultime peut être amorcé dans les airs pour ne laisser aucun répit ; un régal. En d'autres termes, et vous l'aurez compris, Baddack est principalement destinée au corps-à-corps, newbies et experts y trouvent rapidement leur compte.

Quant à Broly, nous avons là un mammouth déjanté qui fait extrêmement mal. Bien que ses déplacements soient lents, ses assauts sont redoutables. En effet, celui-ci a la possibilité de traverser une offensive spéciale d'un ennemi pour lui rentrer dans le tas. Comme ? Franchir un Kame Hame-Ha sans aucun problème pour faire mal à son rival. Dans l'ensemble, il est un brin difficile à prendre en mains puisque la plupart de ses mouvements se basent sur le catch. Il faut alors se rendre dans le coin Entraînement pour comprendre toutes les facettes de ce géant. Bref, une fois maîtrisé, c'est un pur bonheur. Broly ne sent pas la douleur, ne bouge pas d'un poil et fait pleurer ses adversaires. En quelques mots, il n'est pas un monstre, c'est un véritable démon.

Ouf, nous avions peur de tomber sur deux warriors avec un gameplay quelconque et pas du tout amusant juste pour proposer du contenu, ce n'est pas le cas. Nous sentons que les développeurs de chez Arc System Works ont étudié chaque personnage pour les retranscrire dans un univers de pixels. Le résultat est plus que convaincant, les acharnés du pad sont ravis. Pour faire simple, Baddack et Broly sont deux Saiyajins à ne surtout pas louper.

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Martial DUCHEMIN (kabuto_rider) Rédacteur en chef adjoint - Spécialiste Japon
Résident au Japon, adore les balades à Akiba, les soubrettes dans les rues, les salles d'arcade, le rétrogaming et Street Fighter. Ma vie est vouée à Dragon Ball.
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