personnage principal

pour ma part j'ai aucun soucis à avoir des persos gays.

Par contre, il faut rester conscient d'une chose, c'est que les gays sont une minorité. Pourtant, dans les productions média actuels, ils sont omniprésents, et excessivement mis en avant. Visiblement chez Sony, il faut être gay pour être le personnage principal d'un jeu.

C'est ce forcing qui est abject.

Cloudpunk a été un jeu vraiment marquant pour moi, avec une atmosphère extraordinaire dans la ville de Nivalis.

Justement,je trouvais que Nivalis n'était pas assez exploitée dans Cloudpunk, alors qu'à mon avis c'était le personnage principal du jeu, et son plus gros attrait.

J'ai un peu plus d'espoir avec ce nouveau jeu, mais j'ai quand même quelques doutes que l'on ait pas assez d'activités/prétextes pour aller se balader dans Nivalis et ainsi pouvoir la découvrir sous toutes ses coutures...

En tout cas ce Nivalis trône bien en bonne place dans ma liste des whishlistés...

Bon courage aux équipes de Ion Lands, que la réussite soit avec vous pour nous sortir un Nivalis aussi palpitant à explorer que possible...

Je n'arrive pas à croire que son rôle de Shane en tant que personnage principal de The Shield n'a pas été mentionné ! Il avait fait une prestation monstre

J'ai continué à creuser un peu le sujet, le chef de projet qui sort de nul part comme le studio se nomme Hasan Kahraman, qui compose les mêmes initiales HK que notre cher Hideo Kojima, un peu gros comme coïncidence vous ne trouvez pas, ça ressemble beaucoup à Joakim Mogren, Joakim composant l’anagramme parfait de Kojima et Mogren contenait en son milieu le fameux projet Ogre. J'ai continué à creuser le nom Kahraman compose un anagramme certes imparfait mais quand même troublant de Khamar qui pointerai Khamar-Daban même sur le prénom on peu y trouver des similitudes avec le même nombre de lettres dont 3 placées aux mêmes endroits.

Pour la référence Khamar-Daban présente un drame survenu en 1993 pendant une randonnée en Sybérie, avec des éléments encore inexplicables qui laissent place aux plus grandes théories parfois surnaturelles... Une possible source d'inspiration qui tomberai à pic dans une forêt, avec un contexte de survie, avec un personnage amnésique... pour plus d'info:
https://www.bfmtv.com/police-justice/ra ... 00128.html (Sorry j'ai pas trouvé mieux que BFM pour le coup lol)

Pour en revenir à notre cher Hasan K il est aussi ironique de constater que c'est lui même qui aurait répondu pour infirmer les liens avec Hideo Kojima tout comme Joakim Mogren en son temps, c'est exactement le même scénario. Concernant le mystérieux studio Blue Box Game les premières activités de créations d'un compte twitter, d'un kickstarter échoué... datent de 2015, date clé à laquelle Kojima tentait de rebondir à son licenciement de Konami et créer de nouveaux projets sans grandes certitudes, peut être reprend t'il ici une ébauche d'un teasing avec ses comptes, studio... dédiés. On constate aussi que le twitter bien que créer en 2015 n'a que 3 tweets dont un seul sur la page principale qui date de ce 9 Avril, les deux autres sont des réponses sur ce même tweet, également 0 abonnements tout comme le twitter de Joakim Mogren au temps TPP cela pour éveiller le moins de soupçon, d'accointances possible dans le milieu:
https://twitter.com/BBGameStudios/with_replies

Il y a quand même des coïncidences troublantes, HK, des dates clés, un style de teasing, un studio et un chef de projet inconnu pour un projet qui semble assez ambitieux... rappelons que le personnage principal se prénommera Jason ce qui pourrait ramener à "J" de P.T., J étant par la suite pas mal teaser sur le twitter de Kojima qui aimait maintenir le suspens sur le personnage même sans contexte lien à un jeu ou à un projet quelconque. Un dernier pour la route bien que celui ci semble plus tirer par les cheveux il s'ajoute tout de même la liste de coïncidence Blue Box à les mêmes initiales que Big Boss ou bien les BB Corps (The Beauty and the Beast Unit), à savoir le BB (Bridge Baby) de Death Stranding est déjà un clin d’œil aux initiales de Big Boss, ça reste tirer par les cheveux mais vu que Kojima a déjà fait référence à BB.

Links_Even Wrote:

Je suis d'accord avec l'exemple de Windurst. On ne se posait pas la question de savoir pourquoi un Will Smith, Samuel L. J, Denzel Washington ou autre était à l'affiche, c'était des rôles fait pour eux.

Tu as la réponse : tu viens de me citer les 3 acteurs noirs de l'Hollywood des années 80 jusqu'au début des années 2000 (quoi que, il y a aussi Eddie Murphy). En partant de là, on pourrait aussi dire qu'Hollywood est plein d'asiatiques, en ne s'appuyant que sur les exemples de Jackie Chan, Lucy Liu et le gars dans The Walking Dead.

La réalité est toute simple. Les invisibles sont devenus en un espace de temps extrêmement court visible. Le fait de voir un acteur noir dans un film américain qui ne soit plus le pote du héro que l'on voit 10mn dans le film, ou le commissaire de police dérange beaucoup de gens. Parce qu'évidemment, le "black" ne peut être rien d'autre qu'un second rôle, voir un figurant. Le personnage principal d'un film (voir les personnages principaux), ne peuvent être que blanc. Et oui, via la loi de discrimination positive, on avait un noir qui avait trois répliques dans les films. Et heureusement, ce qui se passe aujourd'hui c'est que l'on voit la mort de ce principe de discrimination positive, au profit d'une égalité des chances au départ d'un casting.

Dans le cinéma français, le problème est d'ailleurs épineux. Très à gauche, les films ne comportent pratiquement aucun acteur noir. Et quand il y a des acteurs noirs dans des films sérieux, c'est pour jouer dans des rôles de banlieusard, de migrants ou de trafiquants. Ah oui, pour me prouver que j'ai tort on va me citer Omar Sy Il n'y a que dans les comédies populaires que l'on voit de la diversité. Le reste, c'est niet.

Ce sont les barrières, les interdits qui sautent un à un. C'est la raison pour laquelle il y a maintenant des personnages gays/lesbiens dans les films : l'interdit a sauté. Mais bon, avec les personnages gays et lesbiens ont est au niveau des acteurs noirs des années 80 : des personnages de seconde zone que l'on voit 5 minutes dans le film.